Bravo ! Les soins que vous avez apportés ont été efficaces ! Voici les signes qui vous permettront de comprendre que la guérison de votre plaie est en bonne voie, dans les délais habituels. Quelques indices suffisent à comprendre que vous êtes sur la bonne voie.

Si vous vous êtes fait une foulure, au genou ou à la cheville par exemple, vous devez savoir reconnaître les symptômes de l'entorse et savoir quoi faire pour bien intervenir en toute tranquillité. Voici quelques règles simples pour intervenir rapidement et pour ne pas rester impuissant face à une entorse !

Quand faut-il refaire un pansement ou un bandage ? La réponse ne va pas de soi car tout dépend du type de blessure, de brûlure ou d’entorse dont vous souffrez. Dites-vous qu’en règle générale, un pansement doit être changé au minimum une fois par jour et au maximum deux fois par jour, soit toutes les 6 heures. Mais il y aussi d’autres facteurs objectifs à prendre en compte. Par exemple ? La solidité du pansement.

Il faut savoir qu’en cas de coupure, d’entorse ou tout autre petit accident, faire un pansement revient à recouvrir la blessure d’une sorte de peau de substitution, jusqu’à ce que l’on soit complètement guéri. Gaze, bandes ou pansement : il est important de faire le bon choix pour une meilleure cicatrisation. Quelques gestes simples suffisent.

D'après l’ISTAT, on dénombre en moyenne chaque année 1,2 accident domestique par personne en Italie. Une bonne raison d’avoir toujours une trousse de premiers secours à portée de main. Mais que doit-elle contenir ? Laissez-nous vous aider.

Nous le savons tous : l’entorse est le traumatisme orthopédique le plus courant. Pendant des années, le traitement principal consistait à plâtrer l'articulation blessée. Aujourd’hui, de nouveaux types de bandages permettent d’éviter le plâtre, en réduisant ainsi considérablement les désagréments liés à une immobilité prolongée. Vous suspectez une entorse ? Voici les produits qu'il vous faut pour pouvoir intervenir rapidement.

Que contiennent les désinfectants qui sont utilisés pour prévenir les infections sur les plaies ? La chimie médicale propose deux solutions principales : l’hypochlorite de sodium, le premier désinfectant moderne utilisé pendant la Première Guerre mondiale, et le peroxyde d’hydrogène, notre eau oxygénée courante.

Les entorses font malheureusement partie de la vie quotidienne. Il suffit d’un mauvais appui du pied ou d’un geste brusque de la main pour s’infliger une entorse à la cheville, au genou ou au poignet. On parle aussi de « foulure » pour désigner cette blessure typique des jours de malchance. Il s'agit en réalité de l’un des traumatismes les plus courants qui soient. Certaines parties du corps humain sont plus ou moins exposées au risque d’entorse, comme la cheville, le genou ou le poignet.

Les plaies sont des lésions qui se manifestent par une ouverture de la peau. Comme si à la superficie du corps s'ouvrait une « déchirure », une lacération. De la petite plaie à la plus grave, on utilise le même mot pour désigner des situations très différentes, de l'écorchure à la plaie opératoire. Voyons de plus près ce qu'il en est.